![]() ![]() Peut nous amener des surprises ou un blocage a un certain niveau. Vouloir enseigner ces langues au même titre que l’arabe ou le français ou l’anglais dans l’état actuel des choses, Notre avis est qu’il faut donner le temps et les moyens a la recherche et l’amélioration des conditions d’enseignement deĬes langues et ne rien précipiter qui puissent faire échouer le processus. La formation des formateurs sera la clef du succès de l’enseignement de ces langues. Parallèlement, il sera mis en place de vrais instituts de langues qui travailleront à améliorer les conditionsĭ’apprentissage et de recherche, de ces langues nationales en vue de les introduire plus tard progressivement comme langues a part entière dans le système éducatif, Editer des manuelsĪinsi que des outils pédagogiques adaptes a chaque langue. Pular Soninké et Wolof continuant à être considérées comme matières mais peuvent être allégées a raison d’une heure par semaine et par langue, en raison du stade encore ambrillonnaire de leurs Les parents, vers une filière : (Arabe ou Français), et introduction de l’Anglais comme seconde langue obligatoire pour les deux filières arabe et française. Les langues nationales comme le Pular, le Soninké et le Wolof seront considérées comme des matières qui peuvent être éliminatoires à l’examenĪ partir de la première année du secondaire, les élèves seront orientes selon leurs capacités, et leur choix valide par Ceci va être un atoutĪu niveau des classes de primaire il est impératif que les enfants étudient pendant les six ans, toutes les langues avecĮn priorité bien sur, l’Arabe et le Français. Prochaine école d’une part, et aussi qu’ils apprennent à se connaitre très tôt, pour un apprentissage « mécanique » de langues aux contacts d’autres enfants. Il est nécessaire d’instaurer la maternelle pour permettre aux enfants de se familiariser avec les structures de la Les propositions qui suivent sont une ébauche qui demande à être peaufinée, amandée selon les possibilités d’adaptation Elle pourra apporter sa pièce à l’édifice nationale. Au besoin, faire appel à la diaspora qui, elle, a une vision beaucoup plus dégagée puisque ayant vécu a l’étranger et vuĭ’autres système éducatif a travers le monde. Venir avec un esprit dégagé, une vision claire et des idées constructives. Toutes les considérations mesquines, racistes, régionalistes doivent être bannies. Système cohérant, doivent avoir en tête qu’ils vont travailler pour l’avenir de ce pays. Les principaux acteurs qui seront charges de trouver les voies vers un Va débloquer des fonds énormes pour que ces journées se tiennent et surtout donnent des résultats concrets et applicables. Nous devons nous armer pour préparer ces états généraux pour au final, mettre en place un vrai système éducatif. Nous avons sacrifie déjà assez de générations au cours de ces cinquante dernières années, il est temps maintenant de chercher a palierĪ toutes ces erreurs, qui nous ont conduit dans ce marasme. Pendant que les autres pays se consacrent à la consolidation de leurs systèmes éducatifs, nous sommes encore au stade deĭéchirement, de tâtonnements, d’interrogation, sur le notre. Une nation qui n’apporte pas de soins particuliers à son éducation ne peut prétendre à un L’éducation doit nous apporter les réponses adéquates aux questions essentielles de survie de la nation. Le point positif à ce branlebas de combat a été l’annonce d’une prochaine tenue des états généraux sur l’éducation. Quelconque et unilatérale du gouvernement dans ce domaine. Les réactions contradictoires a ces déclarations ont donne la mesure de ce que sera encore une prise de décision Écrite et électronique, on se rend compte que le débat est loin d’être clos. Si on considère la polémique qui s’en est suivi à tous les niveaux de la presse Les capacités du pays à se remettre des troubles des décennies passées entre les composantes de notre population. Les récentes déclarations de certains membres de l’actuel gouvernement dans le domaine des langues ont jeté un doute sur Ceci démontre que nous n’avons pas encore trouve la voie idéale pour l’éducation de nos Le taux de réussite au BAC de l’année 2009 est la pour le prouver si besoin en était. Les statistiques de ces dernières années sur l’éducation en Mauritanie ne sont pas, le moins qu’on puisse dire, très ![]()
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